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Retrouvez les vidéos de démonstration des fonctionnalités de l'outil MithraSIG

De la simulation au pdf
Découvrez comment les outils intégrés de MithraSIG permettent la création de mises en pages rapides et personnalisées.
Bonjour à tous, aujourd'hui on va regarder comment mettre en valeur les résultats de vos simulations en sortant des cartes géographiques, illustrant les résultats de vos calculs. MithraSIG dispose là encore d'outils très puissants, bien que, il faut le reconnaître, pas forcément très intuitifs. Ce qu'on va faire, c'est qu'on va dans un premier temps utiliser un cartouche déjà existant pour regarder de quelle manière on crée une carte papier, avec une légende, une flèche du Nord, une barre d'échelle, etc. Et puis, dans un second temps, on verra comment créer notre propre cartouche pour que l'ensemble des collaborateurs puissent sortir les résultats des différents travaux, en utilisant le même fond de carte. Alors, on va regarder dans un premier temps la création d'une mise en page depuis un modèle préexistant. Donc, ça se passe ici. Donc là, on peut choisir parmi les différents modèles qui sont proposés par défaut. On va rester classique. Par exemple avec une petite légende, il s'agira peut-être quand même de rendre un petit peu plus à l'image de notre propre société, et pas de Geomod ou du CSTB. Donc voilà, on choisit son cartouche, ensuite on va venir positionner la zone que l'on veut représenter. Certains paramètres par défaut nous sont demandés donc on peut par exemple renseigner un titre, le calcul c'est du 24 janvier, on peut mettre ici les infos sont prévues vous aurez la main sur les infos comme ça renseigner à chaque fois que vous créez une carte donc sur les différents champs. Tout ça vous est paramétrable. On renseigne ces infos, puis on va venir positionner une ou plusieurs légendes. Là, on a par défaut le niveau de bruit qui nous est suggéré, mais on aurait pu choisir d'aller afficher plutôt la légende du trafic des trains. Ça, c'est à vous de choisir. Je vais rester classique et je vais disposer la légende portant sur le niveau de bruit que je représente ici. Vient le choix de parmi les flèches du nord qui vous sont proposées celle qui vous intéresse le plus, là c'est possible aussi d'en avoir des plus maison mais il faudra revenir vers nous pour voir comment on fait. Barre d'échelle donc on l'a choisi à peu près adaptée à l'échelle et on la positionne où on veut. Bon, je n'ai pas de place en bas à droite, je vais pas positionner là où je veux, c'est évidemment pas très pertinent. Mais l'objectif aujourd'hui n'est pas de faire une carte jolie, plutôt de voir un peu quelles sont les techniques qui vous permettent d'obtenir infinée. Donc voilà, votre mise en page. Une fois que ce travail-là est fait, vous pouvez évidemment un petit peu plus personnaliser votre travail en intégrant un logo. Une manip qui n'est pas très intuitif, c'est par exemple celle-ci, collée à partir d'un fichier. Donc là, j'ai mon petit logo au format PNG. Je vais venir insérer ce logo avec cet outil de coller à partir d'un fichier. Là, il faut que je le récupère. Je vais le mettre au premier plan, parce qu'à priori, il n'est pas mis au premier plan tout de suite. Je vais le redimensionner. Je le redimensionne. Et puis ensuite je vais le déplacer là où ça m'arrange, vous avez compris l'idée. Si je veux de la même manière, je peux ici modifier les éléments de texte qui sont affichés je peux mettre mes propres éléments de texte : "Bonjour à tous". Et positionner cet élément là où je le veux. Alors j'ai été un peu vite, mais on a vu qu'on aurait pu choisir aussi la couleur, la police, etc. Rien de très original ici. Une petite remarque ici, c'est que vous avez vu que tout à l'heure, on avait dans le projet l'étiquetage sur nos récepteurs. Et là, on a perdu cet étiquetage. Alors au passage d'ailleurs, une petite remarque, parce que c'est une demande qui revient assez souvent. Vous voyez que, à petite échelle, ces étiquetages sont sympathiques. À grande échelle, ça devient moins pertinent. Vous pouvez régler ça dans les propriétés de la thématique. Vous pouvez régler l'échelle minimale et l'échelle maximale d'affichage de ces étiquettes, ce qui rend quand même plus sympathique. Vous voyez que là, je suis à plus de 2000, donc il n'y avait pas d'étiquetage et puis quand je vais me rapprocher je vais avoir mes étiquetages. Alors ces mêmes étiquettes ici elles ont disparu de l'impression. Alors pourquoi ça ? C'est pour évidemment ne pas surcharger votre modèle. On peut si on y tient forcer les étiquettes à apparaître dans ce cartouche. Comment faire ? Eh bien vous allez ici sur l'objet photo, vous cliquez droit vous allez dans les propriétés. Dans Photos, vous allez trouver l'onglet Calque. Dans Calque, vous sélectionnez le calque sur lequel portent les étiquettes. Dans Annotations, vous avez les étiquettes qui, vous voyez, par défaut, ont été éteintes. Vous les réactivez, vous appliquez, vous validez, et vous avez les étiquettes qui apparaissent. Alors, évidemment, là, ce n'est pas très joli, mais il me semblait important que vous voyiez cette manip là encore pas très intuitive. Une fois que ce travail est fait, il est très simple d'avoir une impression. Donc, bon, classique, vous sélectionnez votre imprimante et vous validez. Et voilà la mise en page lorsqu'on dispose d'un cartouche coexistant. Il s'agit de voir maintenant comment on peut personnaliser et créer ses propres cartouches à l'image de notre société et aussi d'ailleurs comment on peut l'échanger entre collègues. Ça se passe toujours dans mise en page mais cette fois-ci dans créer un nouveau modèle d'impression. On ne va pas partir de rien, on peut partir de rien. On va gagner du temps un petit peu. Donc, on va partir, par exemple, de ce cartouche-là. On va le personnaliser, l'améliorer et voir un peu les différentes techniques qui permettent de faire ceci. Donc là, évidemment, je suis en train de créer mon cartouche. Donc, je vais commencer, évidemment. par supprimer le logo de Cadcorp, je vais intégrer le lien donc toujours collé à partir d'un fichier. C'est toujours la même problématique que tout à l'heure, je le réduit, je le déplace où ça me semble judicieux. Je peux continuer à le réduire d'ailleurs parce que ce n'est très heureux ici, voilà, au passage ce cadre j'aurais pu l'étendre aussi, voilà vous êtes libre, je suis juste contraint par le bord supérieur puisque je suis au format donc on a choisi A4 et que vous savez que le format A4 il est contraint en longueur et en largeur, 21x29x7 donc là on a 29x7 si on prenait notre petite règle, on verrait qu'on est à peu près à 29 cm ici. Donc on doit respecter le cadre extérieur qui limite la page. Voilà, donc vous placez votre logo, je ne sais pas ce que j'ai fait, il est revenu à sa place, mais vous avez compris, donc je ne vais pas perdre trop de temps là-dessus. Alors, il y a quelque chose d'important, on l'a vu tout à l'heure, ce sont les variables que l'on va renseigner à chaque création de carte. Ici, elles ont été mises dans ce tableau. Vous pouvez créer votre propre tableau avec les outils de dessin habituels. Vous dessinez votre ligne. Je fais quelque chose de très moche, je suis désolé, mais le but est juste de vous montrer les différentes techniques et puis alors pour le coup, une fois que vous avez fait votre joli tableau, vous allez pour ces variables dynamique, créer une première zone de texte, on va la renseigner comme on veut, on va la déployer ici par exemple, on peut la dimensionner, ça doit se passer dans les propriétés, la dimension s'adapte au texte, plutôt je pense qu'elle s'adapte au texte. Donc, vous positionnez votre zone de texte. Et puis là, vous allez aller ajouter un attribut et vous l'appelez Prompt. Ça va être du texte. Et là, on va demander à chaque fois le nom du créateur. Juste parce que ce n'est pas intuitif, j'ai créé un attribut de nom prompt et de valeur nom créateur. Vous verrez tout à l'heure l'effet que ça a. Donc là, je peux m'appliquer à personnaliser mon cartouche encore. Je peux aussi renseigner une barre d'échelle. Alors au passage, on va aller faire un petit tour sur la doc pour que si vous oubliez tout ça, vous retrouviez rapidement ce que je suis en train de détailler un petit peu. Donc ça se passe dans mise en page et modèle d'impression. Donc là, on est en train de sauvegarder un modèle d'impression, de créer un modèle d'impression. Et là, voilà, vous avez ce que je viens de dire sur les variables dynamiques. Et puis, vous avez la méthodologie d'ajout d'une échelle, tout simplement en récupérant, par exemple, cette formule. Toutes les formules sont énumérées en ligne sur le site de Capcorp. Là, on est en train d'utiliser une techno qui vient de Capcorp, notre partenaire. Je vais créer un point. texte et puis je vais y mettre cette valeur. Donc ça c'est l'échelle et je vais venir afficher l'échelle ici. Donc vous voyez que c'est resté un petit peu avec un point d'interrogation évidemment parce que pour l'instant il n'a rien à afficher comme échelle. Bon voilà du coup là on va dire que j'ai créé mon cartouche. Si maintenant je veux le sauvegarder, je sélectionne la photo, là c'est pas encore très intuitif, et puis je vais dans "Mise en page", "Sauvegarder en tant que modèle d'impression". Donc là je vais lui donner un nom de dossier, je vais l'appeler Geomod, et je vais l'appeler "tuto". Et j'ai créé mon modèle d'impression. Alors maintenant, petite démo rapide de son usage. Je reviens dans ma carte, dans mon projet MithraSIG plus exactement. Je vais mettre une mise en page en utilisant donc dans Geomod, je vais retrouver le cartouche tuto. Avec toutes ses imperfections, mais bon. On a compris que l'objectif, ce n'était pas de faire du beau tout de suite. Je valide. Et là, vous voyez l'effet de ma variable avec un attribut qui s'appelait "Prompt". C'est mon créateur, là je peux mettre que c'est David Collado, le créateur, aujourd'hui. Et vous voyez, en dynamique, on ne voit peut-être pas très bien l'écran, mais vous le verrez tout à l'heure. Ayant positionné aussi ma carte, j'ai une échelle, donc on va voir tout ça tout de suite, je positionne mes différents éléments très rapidement, on l'a déjà fait, je ne vais peut-être pas la mettre quand même à un endroit qui m'embête, pour vous montrer les résultats de ce qu'on a fait quand même, je valide, et donc, elle va s'appeler "Impression 11". Et vous voyez, donc, David Collado et l'échelle qui s'est affichée de cette façon. Et voilà les différentes petites techniques qui vous permettent de créer vos mises en page et vos cartouches. Une dernière petite remarque. Ce cartouche, on l'a enregistré, mais on l'a enregistré où et comment on peut se le passer entre collègues ? Alors, il y a beaucoup d'infos qu'on met dans MithraSIG et qui vont se positionner dans votre répertoire perso. Vous allez dans AppData. Dans AppData, vous faites local > MithraSIG. Puis, dans les NOL, c'est un format spécifique Capcorp. Donc, c'est dans le répertoire NOL de MithraSIG, Mitra, dans local de AppData, de votre répertoire utilisateur, puisqu'on ne peut pas aller écrire ce genre d'infos dans l'installation principale du logiciel. Si vous voulez partager le cartouche avec vos collègues, il vous suffit de prendre le fichier Mithra Print Template, de le donner à vos collègues. Il contient le cartouche que vous venez de créer. Voilà, merci de votre attention. J'espère que ces infos vont pouvoir vous aider dans votre travail et je vous dis à bientôt pour un prochain tuto.
Comment effectuer des thématiques sur MithraSIG ?
Bonjour, aujourd'hui on va regarder comment effectuer des symbologies personnalisées ou des thématiques sur MithraSIG afin de distinguer les entités d'un calque ou d'une couche en fonction d'un attributaire ou d'une mesure lors d'un calcul. On va commencer par un cas très simple. où je vais simplement, de manière un peu artificielle, distinguer les différents éléments de bâti en fonction de leur hauteur. Pour ça, c'est très simple. On va ajouter un thème au bâtiment. On choisit un style intervalle puisqu'il s'agit d'une valeur qui va varier suivant un minimum et un maximum qu'on va découper en intervalles de notre choix donc ici je peux choisir 4, 5, etc. Donc vous faites votre choix et puis la manière aussi de découper ou en mettant des plages de longueur égale ou en faisant en sorte qu'il y ait autant d'éléments dans une plage que dans l'autre etc. Ou de manière aussi un peu plus statistique donc on choisit ces intervalles, la manière de répartir les bâtiments dedans, et puis, on voit que par défaut on a des intervalles qui sont créés avec des styles qui leur sont propres. On peut personnaliser ces styles évidemment. Par exemple, on peut créer un dégradé entre les bas bâtiments que je vais mettre en jaune. Le reste des bâtiments que je vais mettre en rose, je peux choisir évidemment des couleurs un peu plus pertinentes, si j'en ai envie; j'ai accès ici à toute une gamme d'outils qui me permettent d'obtenir le rendu souhaité, et en sélectionnant ensuite l'ensemble de ces bâtiments, je peux étendre et je vais générer ainsi un dégradé donc de la couleur du minimum à celle du maximum. Je termine et j'obtiens ainsi, vous voyez, une symbologie qui distingue mes différents éléments de bâtiment. S'agissant de MithraSIG, je vais évidemment relier cette technique à un usage acoustique. Donc je dispose ici d'un calcul en façade et lorsque j'ajoute une carte à un calcul en façade, j'ai de manière très classique accès aux contours. donc la symbologie des contours de mes bâtiments en fonction du bruit mesuré en façade, je vois que si je choisis une représentation ponctuelle, je vais avoir la même information mais représentée sous forme de points. Quelque chose de très intéressant, c'est de choisir cette case dBmax qui vous donne accès à la valeur du max mesuré sur le bâtiment ainsi que la façade sur laquelle il a été simulé et la hauteur. Donc quelque chose d'encore plus intéressant, c'est que je peux basculer cette valeur comme attribut à la couche des bâtiments. Donc cet attribut, par exemple, je vais l'appeler LdenMax si je décide ici de travailler avec le Lden. J'ajoute cet attribut, et je peux vérifier que dans la couche des bâtiments, j'ai bien obtenu le LdenMax. Voilà, à partir de là, je vais pouvoir utiliser cette valeur attributaire comme moyen de différencier mes différents éléments de bâtiment. La première manip qu'on puisse faire avec cette valeur obtenue du LdenMax comme attribut de la couche des bâtiments, c'est donc d'ajouter un thème. Cette fois-ci, on va ajouter un thème suivant des valeurs individuelles. On va prendre le générateur d'expression. On cherche l'attribut et on va donc récupérer son nom interne et y affecter une condition. Par exemple, je veux sélectionner le nom Lden pour qu'il soit supérieur à 68 dB ou pas. Voilà mon expression, c'est la valeur par défaut. Donc là il faut savoir que le style qui est ici qui est affecté à la valeur -1 c'est le style qui sera affecté aux entités vérifiant la condition quant à 0 c'est ce qui sera affecté aux éléments qui ne vérifient pas la condition, donc des bâtiments moins bruyants on va dire. Donc les bâtiments bruyants, ils seront définis ici, suivant cette condition, et suivant par exemple cette symbologie. Donc je vais peindre l'intérieur des polygones en rouge, ça suffira pour la démo, vous pourrez effectivement définir un contour par exemple et vous allez voir qu'effectivement on a du coup les bâtiments exposés au delà de 68 décibels qui figurent bien comme on l'a voulu avec une symbologie dédiée. Enfin on va terminer aujourd'hui par un dernier usage de ce LdenMax qu'on a récupéré de notre calcul en façade et que l'on a transféré comme attribut des bâtiments pas par étiqueter les bâtiments, par exemple, avec cette valeur, donc issue du calcul. Toujours pareil, on ajoute un thème, mais cette fois-ci, on va ajouter une annotation, et dans les annotations, on va trouver les étiquettes. Une expression, je l'ai préparée. Donc vous avez ici au passage cette fenêtre qui vous aide pour générer des expressions un petit peu avancées avec différentes fonctions qui vous permettent par exemple de gérer des chaînes de caractère, qui vous permettent aussi d'intégrer des calculs mathématiques. Donc là aujourd'hui on va simplement définir comme expression qui permettra de gérer l'affichage dans les étiquettes donc on va afficher la chaîne de caractères LdenMax et puis on va formater la valeur issue du calcul arrondi à un chiffre après la virgule et on fera suivre ça de l'indice dBA. Voilà donc, c'est assez simple. Vous voyez qu'on a une récap ici, on peut paramétrer les étiquettes en définissant des couleurs, par exemple si on veut les voir en rose, pour être original. Je rappelle qu'on peut là encore accéder à toute une palette d'outils qui nous permettent de générer et d'avoir la main sur les étiquettes. Et voilà on voit que là ça fait très fouillis on n'a pas géré d'échelle particulière pour ces étiquettes s'affiche, on peut revenir sur la couche sur la thématique que l'on vient de créer et modifier ses propriétés en définissant une échelle minimale pour laquelle on veut qu'elle s'affiche. Donc là, ma carte, je peux tranquillement la visualiser en champ. Dès que je vais dépasser le zoom de 300, mes étiquettes vont afficher la valeur du max comme je l'ai indiqué grâce à cette formule. Voilà, cette petite introduction aux thématiques sous MithraSIG et je vous donne rendez-vous pour le prochain tuto. Merci de votre attention.
Intégration de la TMJA
Comment définir efficacement des trafics avec la TMJA dans MithraSIG
Bonjour, en rebondissant sur l'intégration de la BD Topo qu'on a effectuée lors du dernier tuto, je vous propose aujourd'hui de regarder comment on peut intégrer la TMJA de manière rapide, efficace, afin d'avoir des trafics définis sur chacune des routes pour lesquelles on a l'info. Pour le petit exercice aujourd'hui, on va profiter pour explorer une fonctionnalité peu connue de MithraSIG, qui est la vue tableau. On va simuler cette donnée TMJA, puis on va intégrer les routes, avec cette fois-ci le trafic qu'on déterminera de manière un petit peu artificielle. L'idée étant que vous puissiez bien voir les manipulations qui sont en jeu. J'en profite pour faire un petit peu de pub sur notre petit manuel en ligne qui vous permet de vous repérer, de vous aider lorsque vous avez un problème. Alors ici, ce qu'on va utiliser aujourd'hui, on pouvait le trouver facilement dans notre manuel, accessible à data.geomod.fr, MthraSIG version 5 help/fr. Vous tapez fonction dans la page d'accueil. Et dans expression, liste des expressions, vous allez disposer d'un petit mémo qui énumère les petites fonctions, propriétés qui sont fort utiles et qui peuvent être exploitées dans cette fameuse vue tableau. Alors, je reviens sur ma donnée, les routes. On a cet attribut importance, il est constitué de trois valeurs dans cette zone. Trois pour ce qui est en rouge ici, j'en ai profité pour faire une thématique qui permet de faire le distinguo. Je prends ensuite ces cinq pour celles que j'ai symbolisées en noir, et puis pour les autres en bleu clair, elles ont valeur 6. Une chose importante dont on va avoir besoin, c'est le nom de cet attribut. Du point de vue de MithraSIG, vous voyez importance suivie d'un dollar pour indiquer qu'il s'agit d'un champ textuel. Donc, vous avez un champ numérique, vous avez en suffixe un dièse qui apparaît. On peut le vérifier par exemple dans largeur. Du coup, on va aller dans ce tableau, on va choisir la couche des routes filtrées à laquelle on va ajouter une colonne TMJA, on va simuler cette TMJA comme je l'ai indiqué, donc on va ajouter un nouvel attribut qu'on nomme TMJA et qui va être du nombre entier. On a cette nouvelle colonne qui apparaît à la fin du tableau. Et maintenant, ce qu'on va faire, c'est que pour les routes d'importance égale à 3, on va définir un TMJA de 1000, totalement arbitraire. Puis pour la seconde catégorie, je crois que c'est 5, on va passer à 500. Et puis pour l'autre, on va mettre 100 par exemple. Alors, comment on peut effectuer ça ? On utilise l'outil remplir et puis on va définir du coup on va remplir la nouvelle colonne TMJA et on va indiquer que si donc c'est un iif c'est la fonction si dans excel pour les amateurs d'excel si la colonne importance, alors là, je la tape à la main, mais on aurait très bien pu, ici, double-cliquer, et on aurait d'ailleurs eu le nom MithraSIG, au cas où on n'en disposait pas. Donc si l'importance vaut 3, alors la TMJA, donc virgule, le premier virgule est synonyme de alors, donc la TMJA va valoir 1000, et sinon, seconde virgule, c'est synonyme de sinon, donc on va laissé à zéro pour le coup, histoire de faire une petite démo intermédiaire de cette formule. Vous voyez qu'on a un petit avertissement, un petit carré rouge qui nous indique que la formule n'est pas valable. Souvenez-vous de ce que je vous ai indiqué tout à l'heure. Le champ importance, c'est une chaîne de caractère. Autrement dit, ce n'est pas 3, le nombre entier, qui est indiqué, mais c'est 3, la représentation du nombre entier qui va être valable. On valide et vous voyez que partout où l'importance va être égale à 3, on va avoir 1 000. Par exemple, un petit test, on peut sélectionner cette ligne, vérifier que la colonne d'importance, si on la trouve ici, vaut 3. Sinon, un petit tour du côté de la carte avec un zoom sur la sélection nous montre que, effectivement, c'est bien un bout de route rouge, donc d'importance égale à 3, souvenez-vous de la symbologie. Ici, c'est bien cette section de route qui a un prix comme valeur de TMGA, la valeur de 1000. Alors on peut continuer notre petite balade comme ça. Au préalable, on peut vérifier les autres valeurs de l'importance. Vous voyez ici, c'est 5. Et puis pour celle-ci, ce sera 6. Donc 5 et 6. Alors on peut revenir dans la tableau et maintenant mettre à jour la colonne TMJA en indiquant que si l'importance, là on peut directement double-cliquer sur l'attribut, si l'importance vaut 5, alors la TMJA va valoir 500. Et sinon, là il faut être un petit peu attentif, si on met 0, on va écraser l'étape précédente, donc on va récupérer si l'importance n'est pas égal à 3. L'ancienne valeur de la TMJA. Je pourrais, à noter, je pourrais cumuler mes si, les imbriquer les uns dans les autres. Ça donnerait quelque chose de pas très lisible pour ce tuto, mais vous pouvez tout à fait le faire une fois que vous avez compris un petit peu la manip. Alors, du coup, si c'est un dièse. Et je n'oublie pas un petit détail, c'est que c'est la colonne TMJA. que je suis en train de mettre à jour. Voilà. Alors, pour résumer, si l'importance vaut 5, je vaux 500. Ma colonne TMJA vaut 500. Et sinon, je laisse la TMJA. Une fois la petite coquille corrigée, je valide. Et je vérifie que j'ai 1000 pour l'étape précédente, 500 et puis, à quoi correspond cette valeur de 0 ? Ici, je peux aller zoomer sur la sélection. Je vois qu'effectivement, c'est une route verte, donc de valeur de l'importance égale à 6. Je vais continuer comme ça ou même je vais laisser la TMJA à 0 pour ces petites voix, je pense que vous avez tout à fait maintenant compris les enjeux. Donc je dispose, pour résumer, d'une TMJA à l'échelle de ma couche, et dès lors, je souhaite intégrer, en même temps que la géométrie et la forme de mes routes, je souhaite intégrer de la donnée acoustique. Alors je n'ai pas tout à fait, tout à fait fini ma manipulation avec la vue tableau, car lorsque nous intégrons les routes, on doit donner à MithraSIG l'information qui lui permet de faire le parallèle entre les colonnes dont on dispose en amont avec les colonnes que lui attend, c'est-à-dire un débit de véhicule léger. Il va falloir que je calcule ces débits comme attributs, par exemple. Il y a des règles que vous connaissez certainement mieux que moi pour la TMJA. Je les ai retrouvées ici. En fonction de votre catégorie de route, vous allez diviser par une certaine quantité. Du coup, ces considérations-là sont à effectivement fignoler lorsque vous intégrez de la donnée réaliste. Nous, ce que l'on va faire, c'est toujours en reprenant l'information importance, on va définir un débit de véhicules légers, par exemple, égal à ma TM10JA divisé par 15, puis pour les poids lourds, divisé par 25, par exemple. Quant à l'information sur la vitesse, en fait, on en dispose, en tous les cas pour les véhicules légers, elle est donnée par l'IGN, voilà, vous l'avez, c'est l'avant-dernier champ ici, et effectivement, on voit que lorsque la route est raisonnablement fréquentée, on a une valeur ici de 35. On va pouvoir définir cette information de vitesse lors de l'intégration dans MithraSIG en utilisant cette valeur de change. Pour résumer, il me reste à partir de ma colonne de TMJA que l'on vient de construire, il me reste à calculer les colonnes correspondantes pour les débits de véhicules légers, de poids lourds, pour le matin, pour le soir. Alors, je vais le faire, pour l'exemple, pour le matin seulement, c'est-à-dire que je vais ajouter simplement une colonne. Alors, comment on refait ça ? Exactement pareil que ce que l'on a fait tout à l'heure, c'est-à-dire que je vais ajouter un attribut que je vais appeler débit VL matin. C'est un nombre à virgule potentiellement, puisque je vais prendre ma TMJA, je vais la diviser, donc je ne vais pas prendre de risque c'est un nombre à virgule. Et je vais donc renseigner ce débit. Voilà, je vais le renseigner, il est ici voilà je vais le renseigner en définissant sa valeur comme étant égal à la TMJA que je vais diviser par exemple par 17 ou 15, peu importe vous suivrez effectivement les indications de ce document j'imagine qui a été publié en 2007 sauf s'il a été revu depuis par le Sétra. J'imagine que tout le monde connaît ce document. Voilà, donc j'ai pris ma TMJA, je l'ai divisé par 17, je valide, et je dois normalement, par exemple, si je viens sur un tronçon routier, vérifier qu'effectivement j'ai bien maintenant un flow, un trafic de véhicules légers. Évidemment, je pourrais faire pareil pour l'après-midi, pour le soir. pour les poids lourds, etc. Ça n'a pas beaucoup d'intérêt pour ce tuto. Je vais pouvoir maintenant plutôt vous montrer comment on intègre de manière rapide. Je prends mon outil d'intégration, des routes, on a déjà vu ça. Je choisis la couche qui contient les infos, la donnée, le nombre de voies, la largeur, il a reconnu. Et puis, données acoustiques. Comme nature, on avait pris le nom, me semble-t-il, de mémoire, le nom bandé. Je vais créer une catégorie sur la base de ces noms. Ça va me permettre, encore une fois, d'avoir, lorsque je vais confectionner mes cartes, la possibilité d'isoler le bruit de telle ou telle section de route sur la base de sa nature, c'est-à-dire ici, de son nom bandé. Voilà. Et du coup, je vais indiquer que pour le jour, j'ai un débit de véhicule léger égal à débit VL matin. Je vais faire pareil pour le soir, pour les poids lourds. La vitesse, on a dit que c'était l'avant-dernière valeur fournie. Je vais mettre la même pour les poids lourds. Tout le monde comprend que, ici, l'objectif n'est pas la précision, mais de voir un petit peu comment on fait. Voilà, je vais reproduire ça pour chaque période. Et lorsque j'ai terminé je lance l'intégration et je vais ensuite pouvoir vérifier ce que contiennent mes routes comme information vous voyez que j'ai mes débits qui ont été qui en compte, comme je l'ai indiqué, par ma table de correspondance. Voilà. Donc à partir de là, je peux générer mes cartes de bruit, lancer mes calculs, générer mes cartes de bruit. Au passage, j'ai ici un récap de tout ce que j'ai pu récupérer. Je vois que sur certaines routes, j'ai des 0 qui correspondent certainement à ces routes. Là, on la voit ici. Pour lesquelles on n'a pas intégré d'informations. C'était à l'origine ces petites sections bleues. Voilà pour cette intégration de la TMJA. J'espère avoir pu vous faire avancer un peu dans votre maîtrise de MithraSIG. Cette vue tableau, on reviendra plusieurs fois dessus. Elle permet de faire des choses, des jointures attributaires, des jointures spatiales qui sont extrêmement puissantes. Et comme je le disais en introduction, il est vrai qu'elle n'est pas d'une prise en main extrêmement aisée, mais avec un petit peu de travail, finalement, on la prend rapidement en main de manière efficace pour des résultats extrêmement puissants. Voilà, à bientôt pour un prochain tuto.
Intégration de la BD TOPO
Découvrez la démonstration de l'intégration de la BD TOPO de l'IGN dans MithraSIG
Bonjour à tous, aujourd'hui on va créer un projet MithraSIG en utilisant la BD Topo de l'IGN pour sa qualité, pour la richesse de la donnée qu'elle fournit, pour un coût moindre puisque c'est gratuit, un petit travail de téléchargement qu'on va effectuer ensemble tout de suite. Il restera à l'issue de ces différentes manipulations à enrichir le projet de données acoustiques qui ne sont pas fournis par l'IGN, mais qui peuvent se trouver par ailleurs via l'obtention de TMJA ou l'obtention de relevés de circulation que vos différents prestataires peuvent vous fournir le cas échéant. En tous les cas, on va commencer tout de suite. Pour trouver simplement la donnée, vous faites une petite recherche de BD Topo sur le web. On va travailler sur le département, par exemple, en 69. Vous pouvez aussi utiliser, si vous en avez besoin, de la donnée à l'échelle d'une région. En général, pour la plupart des utilisateurs, l'échelle du département est déjà largement suffisante. Une fois téléchargé, vous pouvez décompresser le fichier zip qui vous a été transféré, afin de récupérer, comme on peut le voir ici, tout un tas de couches dans une arborescence un petit peu longue, mais à l'issue de laquelle on finit quand même par trouver ce que l'on cherche, à savoir différents types de bâtis. Je vous laisserai explorer les détails. Nous, aujourd'hui, on utilisera tout simplement la couche du bâtiment, mais libre à vous d'ajouter différents types de bâtiments plus spécifiques, si besoin est. Vous aurez aussi besoin, évidemment, des routes. La plus riche et celle sur laquelle on va s'appuyer aujourd'hui sera Tronçon Route, mais vous avez aussi d'autres détails qui sont fournis dans d'autres couches. Là encore, je vous invite à aller les explorer. L'occupation du sol, puis ensuite, des réseaux hydrographiques, et principalement ce sera tout pour nous aujourd'hui. Alors on va commencer par exemple par voir comment on peut charger ces différentes couches d'intérêt dans MithraSIG. Pour ça on va créer un nouveau projet MithraSIG dans un répertoire qui a donc été créé pour l'occasion. On va se créer un projet que je vais appeler BD Topo par exemple que je vais mettre dans mon répertoire de démo, celui dans lequel j'ai mis la donnée des IP. Voilà. Alors, évidemment, comme d'habitude, on choisit la projection "Lambert 93" pour de la donnée française, c'est très bien. Et puis, les paramètres météo, les méthodes de propas, les méthodes d'émission, on va tout laisser par défaut. Et on est dès lors susceptible de charger de la donnée. Il va évidemment falloir au préalable faire de même pour récupérer la donnée altimétrique, grâce à laquelle on va pouvoir créer notre MNT, sans quoi aucune couche ne sera intégrable dans MithraSIG. Pour aller récupérer la donnée alti, on va faire un peu de même. On va faire une recherche par le mot clé BD alti, et on va tomber sur le premier lien que nous propose notre moteur de recherche favori. Et là, évidemment, on va aller chercher la donnée altimétrique du département correspondant, à savoir le département du Rhône pour nous. Là encore on télécharge et une fois la donnée téléchargée on la décompresse et on met le résultat de la décompression dans le répertoire qui vous intéresse ou qui vous arrange. Moi, j'aime bien mettre toutes mes données dans le répertoire de travail, donc dans des mobs et des topos. On constate qu'on récupère, en fait, pour le département du Rhône, donc le 69, on récupère la BD-ALTI sous forme de différentes tuiles, chaque tuile étant repérée, comme vous pouvez le voir ici, par les coordonnées supérieures gauche de l'exprimé en "Lambert" 93 de la tuile. Voilà. Donc à partir de là, on va disposer de toutes les données dont on a besoin pour créer ce modèle acoustique et c'est la prochaine étape de notre travail. Alors sur MithraSIG, on peut se charger un fond, par exemple de l'hygiène ici, qui nous permet de focaliser sur la zone d'étude ici, le parc d'affaires de Crécy sur Saint-Didier-aux-Monts-d'Or au nord de Lyon. Je vais me créer un polygone qui me permettra de découper les différentes couches que j'ai téléchargées tout à l'heure pour me restreindre finalement à une étude acoustique que sur une partie des objets d'intérêt. Ce sera les objets qui sont dans cette emprise-là, dans ce polygone-là, ou qui l'intersecteront. Et puis, à partir de là, on est en mesure de prendre, pour commencer, la dalle altimétrique que l'on a téléchargée, et l'intégrer dans MithraSIG. Alors, comme vous le voyez ici, Il s'agit d'un fichier avec une extension en .ask, c'est une grille. On peut d'ailleurs au passage regarder de quoi elle est constituée, comment elle est structurée. On a un tableau de 1000 lignes par 1000 colonnes, qui représente finalement les lignes d'une image. Chaque intersection, chaque pixel finalement, fait 25 mètres de long et de haut. Et l'information qu'on a sur ces deux lignes-là, c'est les coordonnées du coin supérieur gauche de l'image. Voilà, donc une information très simple. Et évidemment, pardon, je ne l'ai pas précisé, mais chaque donnée est une donnée altimétrique correspondant à l'emplacement du pixel. Alors, pour transformer cette information en MNT, il faut d'abord définir la projection qui a permis d'obtenir le fichier que je viens de vous montrer. Donc nous, c'est du Lambert 93, donc sur la France, vous allez avoir cette projection. Donc là, on voit que la donnée altimétrique de l'IGN, en fait, ressemble à ça. Alors pour l'instant, ce fichier n'est pas encore utilisable. On va, pour qu'il puisse servir de base à notre modèle acoustique, intégrer cette couche en utilisant cette fonctionnalité terrain, on va utiliser la partie grille. On laisse les options par défaut, je reviendrai dessus éventuellement lors d'un autre tutoriel. On va lancer les calculs de conversion de ce .ask en MNT d'une part, et en une couche terrain qui va apparaître dans le modèle, et qui servira ultérieurement de base aux calculs que l'on effectuera tout au long de la confection du modèle. Lorsque la conversion est terminée, vous voyez, on dispose d'une part la couche d'origine et d'autre part de ce MNT que l'on voit ici, qui est donc une partie intégrante du modèle, et ces fameux points terrains ou éventuellement des lignes terrains qui vont ensuite être utilisés dans nos différents calculs. Je vais éviter de trop jouer avec l'affichage de cette couche qui contient énormément de points donc qui peut être un petit peu un petit peu limitante pour la capacité de mon ordinateur. Du coup vous voyez que nous, en fait, notre zone d'étude initiale, on la restreint, on la voit bien, elle est dans cette zone-là. Et je vais continuer mon intégration. Donc tout simplement, je vais reprendre dans le répertoire dans lequel j'ai téléchargé tout à l'heure les données. Je vais aller chercher maintenant les données de la BD Topo et on va par exemple intégrer. Alors, on va commencer peut-être par les tronçons de route comme je l'ai déjà évoqué en shape. Alors c'est un peu long vous voyez que le fichier fait 87 mégaoctets en fonction de la capacité de votre machine, l'import peut être plus ou moins long. On voit bien que on a récupéré beaucoup beaucoup trop de routes par rapport à celles qui nous intéressent on va pouvoir un peu dégrossir tout ça en zoomant sur le polygone initial et par exemple en faisant un premier dégrossissage en par exemple n'allant chercher parmi ces routes que les entités qui nous intéressent du coup comment on fait ça très simplement on sélectionne ici les lignes d'intérêt, et on peut par exemple les dupliquer, on va appeler ça les routes filtrées, ce qui nous permet de ne récupérer que les routes qui nous intéressent, comme vous pouvez le voir ici. On va faire ça pour toutes les couches, c'est-à-dire les voies ferrées, le bâti, etc. Je vous propose de profiter du chargement de la couche du bâti pour effectuer une requête spatiale un peu plus rigoureuse que ce premier dégrossissage qu'on avait effectué avec la souris, en utilisant par exemple notre outil de recherche. Je fais un peu de ménage dans les couches qui sont affichées afin de n'avoir à l'écran que ce sur quoi je travaille. J'ai au préalable, maintenant que j'ai récupéré les routes d'intérêt, supprimer celle récupérée de l'IGN. Donc voilà à l'écran mon polygone qui va me servir de filtre. Et je vais donc récupérer le bâti qui, par exemple, intersecte ce polygone. Alors comment je fais ça ? Je vais dans l'outil de recherche ici. Il y a plusieurs onglets. L'onglet expression, de manière générale, permet de faire des requêtes attributaires, tandis que l'onglet géométrie permet de faire des requêtes spatiales. J'ai sélectionné le polygone et je veux que ce polygone qui est sélectionné intersecte les géométries des objets à trouver. Et là encore, maintenant que j'ai mon résultat, du coup, je vais pouvoir le dupliquer dans un calque que je vais appeler bâti filtré encore. Voilà. Et lorsque je fais ça, je peux vérifier quand même que ça a fonctionné. Alors, que s'est-il passé ? En plus du bâti que j'ai récupéré. J'ai aussi récupéré l'emprise du polygone initial parce qu'il s'intersecte à lui-même. Il me reste ce petit ménage-là à effectuer pour pouvoir récupérer de manière rigoureuse le bâti filtré. Maintenant, j'ai bien la zone de sélection et j'ai bien le bâti. On peut vérifier que je n'en ai pas perdu. Donc j'ai bien récupéré le bâti qui avait une relation spatiale avec la zone sur laquelle je vais effectuer mes calculs. Là encore, maintenant que ce travail est effectué, je peux libérer un peu de place en mémoire en sortant la couche initiale de l'IGN du projet MithraSIG. Et puis je vais faire ça pour les autres couches. et je vous retrouve tout de suite après. Alors on est sur une zone où il n'y a pas de voie serrée directement. Je vous rappelle qu'on a fait déjà un tutoriel sur le bruit ferroviaire, donc ça ne sera pas trop handicapant. Je vous invite à aller jeter un coup d'œil à ce tuto si jamais vous posez des questions sur l'intégration des trains, des calculs dynamiques. De même, pas de plan d'eau. Ce qui nous reste à regarder, et on va profiter pour faire une petite manip encore différente de celle qu'on a vue jusqu'à maintenant, c'est ce qui concerne l'occupation du sol. On a récupéré la couche zone de végétation de l'IGN, et on va découper cette couche par le polygone de la zone d'étude. On commence par, cette fois-ci, sélectionner toutes les zones de végétation. Une fois qu'elles ont été sélectionnées, on va utiliser l'outil "Supp ext" et on va sélectionner maintenant le polygone en guise de filtre. Là, on est en train de dire à MithraSIG, est-ce que tu peux supprimer ce qui est à l'extérieur du polygone parmi les objets que j'ai déjà sélectionnés. Là encore, je ne vais pas focaliser sur l'ensemble de la zone d'études, mais je vous rappelle qu'on a de la donnée à l'échelle du département. Il y a donc de nombreuses zones de végétation, la manip peut prendre quelques instants. Et voilà le résultat du découpage. On voit bien que les zones de végétation ont été découpées par l'emprise de la zone de travail. Au passage, remarquez bien que c'est bien la couche importée de la zone de végétation qui a été modifiée. C'est-à-dire que si j'ai besoin, a posteriori, d'une zone de végétation en dehors de celle qui me reste, je vais être obligé de repartir, de recharger la couche de l'IGN et donc de recommencer, puisque là, a priori, j'ai définitivement supprimé la donnée qui n'est plus visible. Dès lors, on est en mesure d'intégrer cette donnée dans la partie modèle de MithraSIG. Avant d'intégrer une couche, il est toujours bon d'en regarder les attributs. Vous voyez qu'ici, on va avoir sur la couche de végétation, l'information du type de végétation dans le champ nommé nature. Par exemple, si on regarde les routes, on va voir que le nombre de voix données est accessible via le champ NB Voix. La largeur, on l'a dans le champ nommé du même nom. Je pense que ce sont les informations essentielles dont on peut disposer. Malheureusement, à ce stade-là, l'IGN ne nous fournit pas de données de trafic. Il faudra intégrer cette donnée-là ultérieurement afin de générer du bruit via les routes. On peut regarder, de même, le bâti, l'information essentielle, c'est la hauteur. Donc, vous voyez qu'on l'a à travers le champ du même nom. On a le nombre de logements qui peut nous aider, mais il faudra faire un travail parallèle à déterminer le nombre d'habitants via des règles de trois un petit peu grossières. On peut parfois avoir le nombre d'habitants ce qui est utilisé par MithraSIG pour faire du calcul d'impact. Là, ce n'est pas le cas. Et par conséquent, la seule information qui va nous être utile ici, c'est la hauteur. Ce n'est pas non plus une information négligeable, puisque les calculs de rayons dépendent largement de la hauteur des bâtiments. On va donc commencer par intégrer ces bâtiments. Voici la couche. Et on dispose pour ça de cet outil. Alors, au préalable, je vous rappelle qu'il est bon d'avoir un petit pense-bête des différents attributs, puisqu'on va devoir effectuer certaines correspondances. Du coup, ici, on sélectionne la couche adéquate, celle qu'on a construite tout à l'heure. On choisit le mode de drapage. On indique à MithraSIG la manière de récupérer, de calculer la hauteur ici, c'est via l'attribut hauteur. On aurait pu avoir d'autres méthodes. Je vous laisserai les explorer. Et puis, on indique aussi l'information population, le champ qui contiendrait l'information population, le cas échéant, afin de faire ces calculs d'impact. En termes de classification, ici, il est important de regarder un peu les différentes catégories que l'on attend et qui vont avoir un impact, notamment si vous faites un calcul en façade pour déterminer des isolations acoustiques. Ces calculs ne seront pas effectués sur du bâti industriel, par exemple. Donc, on a différentes catégories qui correspondent un peu à cette philosophie-là d'usage des bâtiments. On intègre tout simplement, après avoir renseigné ces informations, et vous voyez qu'on récupère la couche typée acoustique des bâtiments, avec au passage des matériaux qui ont été pour l'instant affectés par défaut, mais qu'on peut ensuite paramétrer de manière plus fine, et qui vont donc eux aussi avoir un impact sur la propagation du bruit. Voilà pour la couche des bâtiments, on va faire de même pour l'occupation du sol. Nous, on n'a pas de plan d'eau. Ici, on a vu qu'on disposait de la zone de végétation et on va intégrer les zones de végétation comme occupation du sol. Il aurait fallu ici proprement faire des petits géotraitements afin d'éviter ce genre de chevauchement entre bâtis et zones de végétation. MithraSIG propose ce type d'outil à travers sa seconde interface. On en a vu quelques exemples tout à l'heure lors de l'intégration. Et enfin, on va intégrer maintenant les routes. C'est une source de bruit. On choisit là encore si la donnée est en 2D ou en 3D. Et le calque sur lequel on va intégrer les routes. Alors, vous voyez qu'on a de nombreuses correspondances à effectuer. Là encore, il aurait été relativement judicieux de s'afficher un pense-bête des attributs des routes avec notamment par exemple le nom qu'on va trouver dans l'attribut non bandé par exemple et qui va nous permettre d'ensuite cartographier à la granularité de ce que nous on appelle une nature. On en a parlé lors de l'intégration des bruits ferroviaires. Notre granularité cartographique, c'est à la nature. Et donc, on va associer ces natures avec le nom des routes. On aurait pu choisir de travailler à l'identifiant. Alors, une fois qu'on a fait ce petit bilan, on prend l'outil d'intégration des routes. On choisit, évidemment, la couche adéquate, le nombre de voix, la largeur. Ici, si on avait disposé des attributs acoustiques, on aurait pu faire les associations. Et puis, ce que je vous disais, la nature, on va aller la chercher sous la forme de, on avait dit donc non-bandé. On va créer automatiquement les natures MithraSIG sur la base des différents noms de voix. Ici, on n'a pas les infos. On les aurait eues, on aurait pu faire la correspondance entre les attributs de trafic et ce que nous, on attend, la qualité du revêtement, etc. Et vous intégrez les routes. Et lorsque vous avez fait ça, on doit encore indiquer les trafics avant de lancer des calculs de propagation, mais ça ne fait pas partie de l'ordre du jour de ce petit tutoriel. Pour conclure, je vais vous présenter là, un élément de la prochaine version de MithraSIG qui devrait sortir courant du printemps. Donc là j'ai récupéré ici l'emprise sur la base de laquelle on a travaillé précédemment. Et donc ce que je vais vous montrer c'est que vous bénéficierez de cet utilitaire, alors qu'il n'est pas encore tout à fait fonctionnel notamment en ce qui concerne la gestion du MNT, mais on améliore et on peaufine et on finalise. Mais l'idée ce sera effectivement de récupérer toutes les couches qu'on vient de voir par un simple clic. Vous allez voir que c'est à peu près fonctionnel pour un petit log des erreurs d'intégration, des données qui n'ont pas pu être intégrées, mais voilà. Le résultat, l'occupation du sol, les routes, le fer chargé automatiquement depuis les serveurs de l'IGN. Et alors évidemment, là encore, la donnée routière restera à renseigner en termes de trafic afin de pouvoir générer vos cartes de bruit. Mais toutes les maniques qu'on vient d'effectuer manuellement seront très bientôt disponibles automatiquement pour les usagers de notre logiciel. Je vous remercie de votre écoute, c'était un peu long aujourd'hui, mais il y avait quand même pas mal de choses à voir. Et je vous dis à bientôt pour un prochain tuto.
La transformation de HELMERT
HELMERT / Intégration des plans papier : du BIM au SIG
Bonjour, aujourd'hui on va focaliser sur l'usage de la fonction de recalage Helmert qui se trouve dans l'onglet principal de géométrie à cet endroit-ci et qui donc est un outil pratique parce qu'il vous permet de géoréférencer une image ou une couche vectorielle et notamment il permet, en ayant scanné un plan papier, d'intégrer les infos du plan papier dans votre projet pour vous en servir comme calque pour ajouter des objets qui peuvent avoir un impact sur votre modèle acoustique. Pour le petit exemple, aujourd'hui, j'ai préparé un petit projet classique. On va utiliser un plan PDF qui apportera quelques détails supplémentaires. Pour l'info, l'intégration est très simple. On sélectionne le PDF et on le glisse dans le projet. Il arrive évidemment à un endroit qui ne va pas être très commode pour nous. On va le déplacer un peu à côté pour mieux le voir. Une fois que le plan est à un endroit à peu près correct, on va commencer la correspondance par dégrossir un petit peu le travail. Ce qu'on cherche à faire avec ces deux documents, c'est la correspondance de cette entité sur le modèle avec une langue ici qui est détourée par un trait vert. Alors, notre premier travail consistait à aligner les deux docs. On a l'outil tourné ici, qui est d'un usage relativement commode. On commence par positionner le centre de la rotation. Je veux amener ma langue sur le côté gauche, du coup je me balade tranquillement sur le côté gauche. Là, vous voyez que ça ne suffit pas, donc je vais refaire une petite rotation donc le centre va être ici ce coup ci et il faut être assez doux et encore on n'est pas correct je vais le déplacer pour avoir de la place et le refaire tourner. Lorsque vous avez fini en utilisant l'outil de déplacement ou l'outil de rotation par à peu près mettre les deux documents dans le même axe, on va commencer la transformation de l'Helmert qui consiste à faire une association entre un point du document et son emplacement dans le projet. On active la transformation de l'Helmert. Et là, j'ai mon premier point du PDF qui, en réalité, sur le terrain, va se trouver à cet emplacement-là. Et je fais ce travail-là pour quatre points. Donc, ce point ici va correspondre globalement à celui-ci. Cet angle-là va se trouver ici. Et cet angle-là va se trouver ici. Et donc, au quatrième point, le document se trouve décalé, tourné, redimensionné, de sorte à correspondre à vos indications. Si la précision de cette première transformation n'a pas été suffisante, vous pouvez comme ça cumuler les transformations de Helmert en répétant la manipulation, sachant qu'on est très chargé, mais normalement, manip après manip, on converge vers une superposition qui est de meilleure qualité. Pour la petite démo, je ne vais pas approfondir ce travail-là. Ce qui va ensuite vous intéresser, c'est de sauvegarder votre travail. Du coup, le PDF, vous le trouvez dans les données d'entrée. Et pour le sauvegarder, c'est tout simple, vous faites clic droit et vous l'exportez. Vous respectez la projection, donc là j'étais sur une zone du sud de Maroc, et je vais faire une sauvegarde dans l'endroit de mon choix, je vais mettre ça sous la forme d'une image, ça me va très bien, et du coup, je l'appelle "test Helmert" par exemple, voilà, je valide. Et que s'est-il passé dans "test Helmert" ? Je récupère un JPEG. Donc voici l'allure avec son fichier de géoréférencement que l'on peut visualiser. Du coup, on est dorénavant en mesure d'intégrer ce fichier. cette nouvelle couche, ce nouveau raster, dans un projet. Si je supprime le PDF d'origine et que je glisse le JPEG, j'ai bien cette superposition de mes deux documents. J'avais au passage décidé lors de l'export de compresser le JPEG. Vous voyez qu'ici, ce n'est pas forcément une bonne idée. Si ça ne vous convient pas, au moment où vous exportez, vous pouvez tout à fait annuler la compression de sorte à avoir un document de la qualité qui vous plaise. Voilà, une petite fonction bien pratique, très simple d'usage et qui vous permettra de mettre en valeur tout document, y compris lorsqu'il s'agit d'un document papier. Voilà, à bientôt pour de nouvelles explorations de notre logiciel. Au revoir.
Calcul d'un isolement de façades
Découvrez le calcul d'un isolement de façades
Les signatures dynamiques de MithraSIG
Les signatures dynamiques, des fonctionnalités qui révolutionnent l'expérience utilisateur.
Bonjour, depuis un an, depuis la version 5.6 de MithraSIG, nous proposons les implémentations des indicateurs de gènes de bruit d'origine ferroviaire qui ont été définis dans l'arrêté du 29 septembre 2022. Après la documentation nécessaire à la manière de calculer ces indicateurs, dans nos trades en ligne à data.geomod.fr/mithraSIG/v5. Cependant, aujourd'hui, je me propose de vous faire une petite démonstration sur la base d'un jeu de données qui contient un shape des tronçons ferroviaires de la ville de Strasbourg et un fichier CSV qui, finalement, définit par tronçon les différents trafics observés. On peut visualiser la donnée en la glissant dans MithraSIG. Et nous allons zoomer sur une zone modeste pour le besoin du tutoriel afin, dans le petit intégration d'OpenStreetMap que nous avons précédemment implémenté, d'obtenir rapidement un modèle acoustique. On vérifie que la zone a quelques pertinences. Et tout simplement, on va aller chercher ici toute la donnée, routières, le bâti, l'occupation du sol et le terrain qui nous permettra de définir notre MNT de façon automatique. Ça peut être long en fonction du débit. On valide. On télécharge automatiquement la donnée et on va se retrouver lorsque l'import sera effectué. Une fois l'import terminé, vous voyez qu'on récupère bien les différents objets utilisés ensuite dans le calcul, l'occupation du sol, le bâtiment, dont je rappelle que par défaut, lorsqu'il s'agit d'un import OpenStreetMap qui ne donne pas l'information de hauteur des bâtis, cette hauteur, dans le cas des bâtiments, est mise par défaut à 8 mètres 40, vous l'avez ici. Vous voyez aussi au passage que les routes ont été chargées, mais ne contiennent pas d'informations de circulation et donc ne sont pas en l'état des sources encore de bruit, puisque globalement, il n'y a pas de véhicules qui passent. Aujourd'hui, de toute façon, nous on va surtout focaliser sur les voies ferrées. Donc on va revenir sur l'import Shape que nous avions effectué tout à l'heure et on va utiliser notre outil d'intégration ici des voies ferrées. Donc les voies ferrées se trouvent dans la couche N ferroviaire. Et puis on fait notre association attributaire. Les commentaires, ce sont les informations qui vont nous servir finalement d'identifiant de chacune des différentes lignes. La nature, c'est les tronçons. Le nombre de voix, oui, il l'a reconnu quand il le peut. Il reconnaît tout seul les différents attributs. Et on a de quoi du coup convertir le shape en source ferroviaire. Vous voyez qu'on a eu un petit avertissement, puisque effectivement notre zone contenant des voies ferroviaires est bien plus large que celle sur laquelle on va focaliser notre petite étude. Et vous voyez que nos voies ferroviaires, évidemment, sont bien définies, mais ne contiennent pas, elles non plus, d'informations de circulation des trains, ce qui, en l'état, ne nous permet pas de faire de la propagation. Donc, on va utiliser l'information circulation des trains que l'on dispose dans le fichier CSV que j'ai présenté en introduction, tout simplement en utilisant ici un petit utilitaire de jointure automatique. Là, je vais simplement aller lui dire qu'il va trouver les informations de circulation sur chaque tronçon dans ce fichier-ci. Ce qui me permet, après quelques instants, de récupérer cette information et ici pour ce tronçon-là, l'ensemble des trains, leur vitesse, etc qui ont franchi ce tronçon et j'ai d'ailleurs ça au passage sur évidemment la zone d'étude mais aussi en fait sur toute la zone pour lesquelles je disposais de l'information initiale. Je reviens sur ma zone de calcul, et ce que je vais faire pour illustrer les différents indicateurs qui nous occupent aujourd'hui, c'est tout simplement disposer sur la zone d'étude de quelques récepteurs. Je vais tout laisser par défaut. Donc voilà, R0 et je vais simplement en mettre un plus loin là, R1, ça me va très bien, avant de lancer du coup un nouveau calcul. Du coup, je vais définir un nouveau domaine calcul et je vais pouvoir lancer un calcul récepteur. Je vais choisir la méthode de propagation qui me plaît donc, de l'hormonoïse, ce que je veux, on va se mettre en hormonoïse (1/3 oct) et un paramètre qui est évidemment important c'est qu'ici, il faut que je lui indique que je veux faire un calcul des signatures. Il va se mettre en faisceau. Le reste me va bien. L'objectif de toute façon aujourd'hui, c'est d'avoir ces fameuses signatures et ces indicateurs dynamiques. Voilà, on laisse le calculer. C'est parfait. Et maintenant, pour avoir les différentes informations, je n'ai plus qu'à aller cliquer droit dans la zone d'études. Vous voyez, pour R0, sur le signal que je reçois de la part de la source. Donc là, je choisis le tronçon qui m'intéresse, et sur ce tronçon, je choisis la signature du train qui m'intéresse aussi. C'est une première chose. Et puis évidemment, la seconde chose, ce sont mes indicateurs dynamiques. Donc là, évidemment, encore, je peux avoir l'information par récepteur, pour R0, pour R1, et puis par tronçon. Et puis, je peux aussi faire varier mes différents indices, choisir celui qui m'intéresse. Vous voyez donc qu'il aura suffit de quelques mois à Geomod pour proposer à ses usagers une implémentation de l'arrêté du 29 septembre 2022. Et ça fait partie de notre ADN. Servir le client rapidement. A bientôt.
Calcul d'un isolement de façades
Découvrez le calcul d'un isolement de façades
Bonjour, aujourd'hui je vous propose de regarder très rapidement comment on peut calculer cet indice d'isolement des façades des bâtiments, le DNT-ATR, avec notre interface. J'ai préparé un petit modèle très simple, c'est le modèle classique que vous avez dans le menu qui vous permet de tester certaines fonctionnalités en deux clics. J'ai désactivé toutes les sources ferroviaires et routières. Je n'ai pas de source industrielle par ailleurs. J'ai simplement gardé ce tronçon de route que pour le besoin de la démo, j'ai paramétré de manière un peu grossière en ne mettant aucun véhicule léger, ni le jour, ni la nuit, et en mettant énormément de véhicules lourds histoire de… vous voyez, j'ai 96,79 décibels la nuit. Vous lancez le calcul, je l'ai déjà effectué, donc j'ai déjà mes résultats. Là pour le tuto, je vais me baser sur les résultats d'un calcul en récepteur, mais j'aurais très bien pu travailler aussi en calcul horizontal puisque cet indice est aussi accessible en calcul horizontal. Sur le calcul récepteur, l'avantage c'est que je peux disposer d'étiquettes et donc je vais ajouter des étiquettes avec d'une part l'indice LAEq Nuit que j'appelle de la même manière, c'est ce qui va me servir de référence et d'autre part le fameux DNTATR donc vous voyez que ici je peux choisir mon niveau de confort c'est à dire la limite que j'exige en intérieur du bâtiment. Donc ici on la fixe à 30 décibels pour cette première démo et pour une deuxième démo je vais la fixer à 20 décibels et l'appeler cette colonne DN. Et j'affiche mes étiquettes et pour bien comprendre je n'ai plus ensuite qu'à aller regarder ce dont il s'agit donc si je m'intéresse à des récepteurs qui se situent près de la route en question on voit que pour un LAEq de 87,1 avec la première contrainte de 30 décibels en intérieur, j'ai fait chuter, j'ai exigé un niveau de 30 dB en intérieur, donc la quantité d'isolement que je dois créer est de 57,1 dB. Dans le second cas, où en intérieur j'ai été plus exigeant, puisque j'avais fixé un seuil de 20 dB, un seuil un peu irréaliste, mais enfin, qui illustre bien ce que l'on veut montrer, vous voyez que évidemment il faut que j'accroisse de 10 la quantité d'isolément. Voilà donc pour un petit point très simple, vous avez les formules essentielles finalement qui permettent de calculer cet indice, qui sont rappelées ici, et je vous renvoie pour le reste à la réglementation qui est abondante, et que vous connaissez certainement mieux que moi. En tous cas, j'espère avoir un peu éclairci les calculs effectués par MithraSIG dans cette circonstance de l'isolement des façades. À bientôt pour un prochain tuto.